Fouiller fouiller
Silence silence
Froidure froidure
Tristesse à coeur fendu
Tristesse à corps rompu
Chaleur fraîcheur mêlées ô temps inapaisé
Deux coupes de vin
Ne chassent point les frissons du soir
Passent quelques oies sauvages
1h celles d´autrefois
Traçant le signe de l´homme dans le coeur blessé
Les fleurs d´or s´amoncellent au sol
Toutes flétries
Nul souci de les recueillir
Seule près de la fenêtre
Comment durer jusqu'à la nuit
La pluie à travers les platanes
Goutte à goutte distille le crépuscule
Cet état
Le seul mot Tristesse peut-il l´épuiser?