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Paul Verlaine - Ariettes oubliées VII - O triste

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Poème de Paul VERLAINE (1844 - 1896)

Ariettes oubliées - VII

Ô triste, triste était mon âme
À cause, à cause d'une femme.

Je ne me suis pas consolé
Bien que mon coeur s'en soit allé,

Bien que mon coeur, bien que mon âme
Eussent fui loin de cette femme.

Je ne me suis pas consolé,
Bien que mon coeur s'en soit allé.

Et mon coeur, mon coeur trop sensible
Dit à mon âme : Est-il possible,

Est-il possible, - le fût-il, -
Ce fier exil, ce triste exil ?

Mon âme dit à mon coeur : Sais-je
Moi-même, que nous veut ce piège

D'être présents bien qu'exilés
Encore que loin en allés ?


Recueil " Romances sans paroles " 1874 - Poèmes de Paul VERLAINE | Auteurs Classiques

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Date de création : 19/10/2007 @ 23:50
Dernière modification : 25/07/2012 @ 11:21
Catégorie : Paul Verlaine
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